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Résistances et Libertés
2 novembre 2020

Mission « Egalité – Diversité » de l’Université Lyon 1 : La propagande gauchiste financée avec l’argent du contribuable.

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A l’Université de Lyon, comme partout ailleurs, le Ministère de l’enseignement supérieur a mis en place de véritables officines de diffusion de la pensée unique, avec des moyens considérables. Au nom d’un journalisme humble et sans concession, nous nous sommes procuré leur rapport d’activité 2020 : proprement hallucinant !

Il y a ceux qui font tomber les têtes sur le pavé des rues de France et ceux qui décapitent online. Les seconds ne sont pas moins dangereux que les premiers. Ils sont depuis longtemps formés aux techniques de l’agit’prop, au conditionnement idéologique, à l’infiltration des sphères de pouvoir, des milieux éducatifs, des médias. Avec l’avènement des réseaux sociaux, ils ont acquis une puissance inédite, doublée de la maîtrise du temps long par des activistes en général entretenus par l’état, les collectivités locales, les entreprises publiques, les syndicats, les universités… Sans crainte aucune, parce qu’en toute impunité, ils peuvent se livrer au prosélytisme idéologique et au lynchage organisé de ceux qui ne pensent pas comme eux. On appelle cela, par snobisme et anglomanie, la cancel culture. Nous préférons le terme bien plus adapté, selon nous, de « peine de mort sociale ».

Qui sont les bourreaux au service des justes causes, qui infectent le web et pourrissent la vie sociale ? On commence à mieux les connaître, parce que les accointances de leurs idéologies avec l’islamo-gauchisme se dévoilent aujourd’hui devant les yeux ébahis des Français, qui commencent à peine à comprendre qu’ils sont tous devenus des Samuel Paty en puissance. Les antiracistes, dont la palette idéologique commence avec SOS Racisme et finit avec les Traoré, qui n’ont pour ennemis que les blancs occidentaux ; les néo-féministes qui, à l’instar de Mme Coffin, professent l’élimination des hommes, enfin des hommes blancs, puisque les arabo-musulmans et autres africains sub-sahariens opprimés de toute éternité, ont droit à l’indulgence des illuminées dans son genre ; les genristes et autres activistes LGBT qui n’en finissent plus de s’enfermer dans le victimisme le plus délirant et les revendications les plus débridées.

Le mâle blanc, de type européen, hétérosexuel et de culture chrétienne, voilà l’ennemi qu’il faut exfiltrer de sa propre civilisation – qui, pourtant, a tout inventé, de la démocratie à la science, en passant par l’automobile, l’aviation et le frigidaire… Sus à l’usurpateur, il faut l’anéantir ! Et le remplacer par le nouveau prolétariat issu des marges, barbus, fathmas voilées, migrants, bref, diversité arc-en-ciel, enfin la chanson est maintenant connue. La collusion de ces professionnels de l’anti-France avec l’islamisme est patente, tout comme leurs liens étroits avec l’extrême gauche mélanchoniste, qui organise depuis des décennies le conditionnement des consciences.

La mission « égalité-diversité » de Lyon 1 ressemble à ses 92 sœurs militantes des universités françaises et autres établissements apparentés : elle pratique ardemment le gauchisme néo-féministe, antiraciste, antidiscriminatoire, toujours dans le même sens bien sûr. Elle a obtenu que l’écriture inclusive – et tous ses barbarismes : docteure, cheffe, étudiant.e.s, etc. – devienne le langage officiel de l’administration. Elle nous présente en photographies, dans son rapport d’activité en couleurs (p. 5) son chargé de mission, sa cheffe de projets et sa chargée de communication, trois titulaires, plus deux stagiaires qui le deviendront un jour, dont Loubna, consciencieusement voilée, pour le cas où l’on n’aurait pas compris. Tout cela doit coûter au contribuable français plus de 100 000 Euros par an, selon nos calculs… Pour faire découvrir aux étudiants conquis l’atelier « fabrique ton clito » (p.7), qui confectionne des porte-clés en hommage à l’organe lesbien militant par excellence ; pour « réfléchir aux violences obstétricales », c’est-à-dire diffamer sans preuve les gynécologues-obstétriciens (dont plus de 50 % sont des femmes), pourtant formés à Lyon 1 (qui inclut deux facultés de médecine) en les accusant, notamment sur les réseaux sociaux, de mutiler les patientes (p.10) ; pour organiser un « événement sportif LGBT + » dans le cadre de la « lutte contre l’homophobie et la transphobie », lubies idéologiques instituées en délits d’opinion ; pour promouvoir (sur le site de la mission) des « ateliers d’auto-défense féministe », où seules les étudiantes et les personnel(les ?) sont admises (sur « auto-déclaration » de leur sexe, cela va de soi, car il en faut pour tous les goûts, trans, queer et apparenté.e.s !), au nom du sexisme le plus échevelé, qui exclut les hommes et pour le coup constitue un délit au regard de la loi ; et enfin, au comble du normatif le plus nauséabond, pour inviter à la plus sordide délation envers tous ceux qui – les porcs ! – se seraient livrés à toute forme d’offense envers la sacro-sainte diversité, à toute forme de discrimination ou de « harcèlement » moral, sexiste, ou sexuel. Pour cela, un formulaire à remplir (p.14) et à adresser à signalement@univ-lyon1.fr , une adresse qui fleure bon l’URSS des années cinquante et la promesse du goulag.  Profs et autres suppôts du patriarcat oppressant et dégoûtant, c’en est fini de votre concupiscence, le moindre regard en coin vous vaudra « l’exco-masculation », la moindre remarque déviante signera votre arrêt de mort sociale !

Médaille au revers de leur veste, en forme de clitoris bien sûr, Staline et Mao se sont invités à Lyon 1. Nul doute qu’ils y rencontreront bientôt Erdogan et ses tchétchènes. Tout est bon à prendre pour les justes causes de la diversité militante !

Alain Haquebard.

Précision : les points de vue exposés n’engagent que l’auteur de ce texte et nullement notre rédaction. Média alternatif, Breizh-info.com est avant tout attaché à la liberté d’expression. Ce qui implique tout naturellement que des opinions diverses, voire opposées, puissent y trouver leur place.

Illustration : DR
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